Le garde

Le Capitaine sourit


Tu n'as pas perdu ta celtitude, pour ma part je trouve plsu mes racines dans l'Aristoteliscisme, mais soit, c'est une tradition que je tolere a peu pres en notre terre.

Comme je te l'ai expliqué, la Bretagne n'est pas notre employeur exclusif mais un employeur privilégié.
Pour ce qui est du talent, j'ai pas trop de doute, j'espere que tu trouvera louange a conter, n'hesite aps a questionner les compagnons pour mieux connaitre l'histoire de notre compagnie.

Le capitaine finis de prendre connaissance du dossier.

Soit le bienvenue a la Gwadog le barde !

Kolias était dans la taverne en train de discuter lorsque le garde de la porte principale arriva. Il s'arrêta au niveau du Lieutenant et lui annonca.

Lieutenant, une femme attend à l'entrée, elle dit vouloir vous parler.

Kolias se demandait qui cela pouvait être à une heure si tardive.

Et quel est son nom a cette femme ? Le garde lui répondit : Délicia Eluro, Elori.... Le lieutenant esquissa un sourire et l'interrompi.Délicia Elara, retient au moin le nom des personnes qui se présentent. Je l'attendais, retournons la rejoindre.

Les deux hommes partirent au niveau de la porte, Le lieutenant lui fit signe d'ouvrir la porte et de rester à l'écart. Le garde s'exécuta. Kolias s'avanca vers Delicia.

Eh bien Delicia, tu n'a pas trainée sur la route. Tu ne dois pas avoir chaud, aller, entre et rejoint nous à la taverne devant un bon verre.

Elle n'avait pas attendu longtemps que Maistraim était arrivé à la porte d'entrée, un sourire en coin elle finit par lui répondre:

Hé oui me voilà l'Ami... mais il me semble pourtant que l'autre soir à la taverne certaines de ses possessions ne te laissaient pas indifférent... m'enfin passons, je te suis...

Elle le suivit, se garda de rire lorsqu'il remit ses hommes à l'ordre même si elle trouvait la situation plutôt amusante, mais elle resta silencieuse et finit par s'assoir sur le siège qu'il lui désigna. Sans mot dire, elle sortit de sa besace un parchemin quelle lui tendit lentement.

J'ai rédigé ceci à ton attention et celle de nos semblables ainsi que tes chefs, rien ne sert de s'attarder dans une discussions de présentation qui prend bien trop de temps, et le temps, pour moi comme pour toi c'est de l'argent, alors n'en perdons pas!

Après avoir aperçu l'homme depuis le haut des remparts, Cipic fit ouvrir les premières portes par le garde.

Ce dernier allait accueillir l'homme et lui proposer de se présenter comme il était d'usage...

Le garde arriva rapidement. Kao s'adressa à lui :

Je suis Kao, l'Helvelte. C'est Mainstraim qui m'envoie. Je sais que je suis içi chez les Gwadog. Vous devez vous douter pourquoi je suis là, et pour ma part, je le sais.

Il avait regardé le garde dans les yeux tout le long de sa phrase. Il attendait maintenant sa réponse..

Le capitaine arriva un peu soufflant, il avait couru pour rejoindre la guérite du garde.

Soit le bienvenue, fils de ton père. Je t'ouvre les portes de notre taverne, passe te présenter a tes nouveaux compagnons.

Depuis sa mort tragique, une retraite dans le sud etait la meilleur chose a faire sur le moment.
Le retablissement fut long et douloureux, surtout psychologiquement, mais en fait la meilleure chose a faire pour Ostehome etait de retrouver sa Bretagne, l'air de la mediterranee ne lui convenait pas, pas plus que les François.
N'ayant pas perdu toute sa tete, il retrouva la cachette de la Gwadog, malgre la vegetation qui avait poussee, et les pieges deposes par Maistraim afin d'eloigner les curieux.
Arrivant devant l'entrée, il reconnu le garde, et se mis a discuter avec lui.

"Et bien ca m'a l'air en mouvement dans le coin, les traces de pas devant le QG ne sont pas tres fraiches, ni tres nombreuses.

Comme a son habitude, le garde n'etait pas tres bavard, c'est d'ailleur pour ca qu'il avait ete mis a cette place par Sieur Cipic à l'epoque.

"Bon b'en ca n'a pas beaucoup change ici, ca pue toujours l'homme plein de sang et de sueur, le tout avec un arriere fond de chouchen; le bon vieux temps quoi."

"Garde, tu passeras le bonjour au Capitaine de ma part et dis lui que je rentre pour la Bretagne, je suis en route depuis quelques jours, je suis vers Sarlat, alors comme vous etes en mission, et si vous avez besoin d'un coup de main, je peux faire un detour, parfois un faux francois, et un vieux breton peuvent etre utile."

Sembrounet arriva au repaire des Gwadogs qui était bien comme le Frau lui avait indiqué.

Il toqua à la lourde porte avec l'anneau en métal fixé dessus.

Sembrounet entendit s'ouvrir le minuscule volet de la porte sans distinguer son interlocuteur

Sem dit simplement

Je me nomme Sembrounet et je viens de Lourdes, comme une sorte de bagage qu'auraient ramené Fraublucker et sa donzelle.
Ils m'ont dit qu'il y avait besoin de bras et de gens qui ont pas froid aux yeux et que leur conscience tourmente pas trop, pour faire un coup militaire chez les Françoués.

Alors si vous voulez de moi, ben j'en serai avec plaisir

Lorsque Betty se manifesta, Peshan fit la moue...

Boh, si on peut même plus s'amuser...y'a pas d'latrines à récurer?

Passe devant le garde en minaudant, bombant le torse et sortant les fesses, le regardant exagérément de haut et lui tire finalement la langue.

Allez, vient mon ange dit-elle à Sem en avançant, nous on veut pas nous faire passer les épreuves de sélection...on doit être trop doués...hihihi

Rit en faisant des cabrioles autour du Sem tout en avançant